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Dans l'univers prestigieux du champagne, deux approches coexistent et façonnent des vins aux personnalités distinctes : celle des vignerons indépendants et celle des grandes maisons. Comprendre leurs différences permet d'apprécier toute la richesse de cette appellation d'exception. Le champagne de vigneron, identifiable par les initiales RM (Récoltant-Manipulant) sur l'étiquette, est élaboré par un producteur qui cultive ses propres vignes et vinifie sa récolte. Cette approch

Aves 114 millions de bouteilles vendues en 2024, le marché du crémant est plus de deux fois inférieur à celui du Champagne. Mais depuis 5 ans, il a progressé de 35% quand le Champagne a baissé de 10%. Comment l'expliquer ? Un engouement grandissant pour les bulles à bon prix, rien qu'à voir la place aujourd'hui occupée par le Prosecco et ses 650 millions de bouteilles vendues, une position écrasante sur l'entrée de gamme.

Plat emblématique des bistrots français, le saucisse-purée traverse les décennies. Derrière son apparente simplicité se cache une véritable institution culinaire, profondément ancrée dans la culture populaire, bien loin des assiettes sophistiquées. Le saucisse-purée incarne d’abord une idée : celle d’une cuisine de cœur, généreuse, nourrissante et sincère. L’origine de ce duo remonte au XIXᵉ siècle, lorsque les premiers bistrots parisiens voient le jour. Les ouvriers, pressés

Et si faire de bonnes frites relevait carrément de l'art ? Les vraies frites qui font revenir les clients au restaurant savent faire la différence. Voici comment. Tout commence par le choix de la pomme de terre. Sur les 4000 existantes dans le monde, une grosse centaine est réellement cultivé. Et parmi elles, pour les frites, on peut citer binesûr la Bintje, l apl;us connue mais aussi l'Agria. Tout le défi étant d'avoir une pomme de terre sachant le croustillant à l'extérieur

Le poulet du dimanche ! Cette tradition qui a bercé des générations entières et qui fait encore saliver de nos jours. Mais d'où vient ce rituel dominical qui transformait le volatile en star de la semaine ? Il faut remonter le temps. Jusqu'au début du XXe siècle, manger du poulet, c'était carrément un luxe. La viande rouge coûtait cher, et la volaille encore plus. Le poulet du dimanche était donc réservé aux grandes occasions : le jour du Seigneur, évidemment, mais aussi les

Si, après les folles années, le Beaujolais Primeur marque le pas, les crus (10) et les Beaujolais villages sortent de l'ombre pour faire valoir leur richesse et leur noblesse et faire oublier le breuvage violacé du troisième jeudi de novembre, sitôt bu et oublié. Et maintenant, parlons aussi du blanc. Car le blanc pourrait être le futur d'un territoire trop lontmeps et injustement cantoné aux seconds rôles. A l'ombre d'un géant bourguignon, souvent copié et difficilement égal